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Article: neo4j: installation

neo4j est installé localement (fedora 33) comme un service à partir d'un paquetage yum installé avec dnf en ajoutant un dépôt.

  • suppression des installations précédentes des desktop 3.2.6 et 3.4.9 OK Il ne devrait pas exister de fichiers neo4j postérieurs au 13/11/20.
  • conteneurs: pour le moment, les conteneurs neo4j de remy et de root (sudo) sont conservés.

Configuration

Le fichier principal de configuration est /etc/neo4j/neo4j.conf.

Commandes pour démarrer ou arrêter le service

`sudo systemctl start neo4j`
`sudo systemctl stop neo4j`

Attention: arrêter le service avant le service avant de modifier le fichier de configuration. Pour me simplifier la vie lors du développement . Je ne touche pas au fichier de configuration sauf pour désactiver l'authentification. La ligne suivante est décommentée.

`dbms.security.auth_enabled=false`

Un point important est que même avec cette commande le service est lancé par l'utilisateur neo4j et non root. Les dossiers en jeu doivent appartenir à l'utilisateur neo4j

Outils

en ligne de commande

Attention, ce n'est indiqué très clairement dans la documentation: il faut lancer neo4j-admin comme l'utilisateur neo4j.

`sudo -u neo4j neo4j-admin ...`

Cet outils ont servi à importer la base maquisdoc extraite du serveur mariadb.

Pour lancer cypher-shell il faut indiquer en paramètres le nom d'utilisateur de la base et le mot de passe. Pour ne pas avoir à retaper à chaque fois, il est commode d'utiliser une variable d'environnement.

Les valeurs pour NEO4J-USERNAME et NEO4J-PASSWORD sont exportées comme variables d'environnement en modifiant le fichier ~/bashrc.

Pour l'installation locale, j'ai désactivé l'authentification.

On peut aussi utiliser le browser.

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