neo4j est installé localement (fedora 33) comme un service à partir d'un paquetage yum installé avec dnf en ajoutant un dépôt.
Le fichier principal de configuration est /etc/neo4j/neo4j.conf
.
Commandes pour démarrer ou arrêter le service
`sudo systemctl start neo4j`
`sudo systemctl stop neo4j`
Attention: arrêter le service avant le service avant de modifier le fichier de configuration. Pour me simplifier la vie lors du développement . Je ne touche pas au fichier de configuration sauf pour désactiver l'authentification. La ligne suivante est décommentée.
`dbms.security.auth_enabled=false`
Un point important est que même avec cette commande le service est lancé par l'utilisateur neo4j
et non root
. Les dossiers en jeu doivent appartenir à l'utilisateur neo4j
en ligne de commande
Attention, ce n'est indiqué très clairement dans la documentation: il faut lancer neo4j-admin comme l'utilisateur neo4j.
`sudo -u neo4j neo4j-admin ...`
Cet outils ont servi à importer la base maquisdoc extraite du serveur mariadb.
Pour lancer cypher-shell il faut indiquer en paramètres le nom d'utilisateur de la base et le mot de passe. Pour ne pas avoir à retaper à chaque fois, il est commode d'utiliser une variable d'environnement.
Les valeurs pour NEO4J-USERNAME et NEO4J-PASSWORD sont exportées comme variables d'environnement en modifiant le fichier ~/bashrc.
Pour l'installation locale, j'ai désactivé l'authentification.
On peut aussi utiliser le browser.